En parcourant le sujet d'
Animaniac j'ai trouvé son idée de présentation de son "parcours horloger" excellente.
Je vais essayer de modestement vous présenter le mien:
Tout a commencé par une Seiko SRP777J1 dite "Turtle", la maladie est devenue sérieuse à partir de là (grandement moddée depuis).


Ensuite j'ai enchainé sur ces 2 Samurai, la première version noire, la seconde noire et or. Pour l'une comme pour l'autre, une fois au poignet, la magie n'a pas opéré bien longtemps


En parallèle j'ai aussi cédé sur des modèles plus "légers" toujours chez Seiko (par "léger" comprendre le temps qu'il m'aura fallu pour comprendre que l'achat n'était pas judicieux).
Le première profitant d'un voyages aux US pour un modèle commercialisée uniquement sur le territoire, une série "Recraft" (assez vite revendue)

Et la seconde, cette solaire, mon premier pas "hors automatique":

Est venue ensuite le temps des premières infidélités à Seiko avec cette première Hamilton GMT offerte lors d'un pot de départ d'un précédent job.
Un vrai coup de cœur pour son design... mais une calamité en terme de fiabilité, mouvement changé puis quelques mois plus tard le pas de vis d'une des 2 couronnes qui s'est désolidarisé du boitier (sic)

J'ai fait reprendre ce précédent modèle par la marque pour l'échanger contre cette Hamilton Grand Day Date, j'ai apprécié cette montre, une belle présence bien qu'un peu "petite" avec ses 41mm de diamètre (aha):

Tenté par son aspect "classique" j'ai essayé des modèles plus conventionnels comme cette Bulova... porté 2 fois et revendu, non vraiment, ce n'était pas mon "idéal"

Dans le prolongement, une fois installé chez Bulova, ce fut le tour de la "Moonwatch" de la marque. Bien que pleine de charme, là encore son diamètre trop contenu et le charme manquant de l'automatique auront eu raison d'elle:


Le retour aux sources était nécessaire, la sortie de l'édition limité "black turtle" de Seiko était le prétexte parfait. Celle-là figure au registre des "
mais pourquoi je l'ai vendu?". Le côté fun de cette montre aura été sa compatibilité avec toutes les sortes de straps, difficile de la prendre à défaut, un vrai bon souvenir.


Pendant ce laps ce temps, j'ai enchaîné une série d'achat sur des marques plus ou moins connues, micro-marque parfois, et ayant eu quelques bonnes surprises comme par exemple ces 3 petites tocantes m'ayant laissé un souvenir agréable, la première la HELM vanuatu, la Zoretto puis la Undive Dark Sea (non pas la salade, d'ailleurs le modèle a depuis été repris par Crafter Blue), les 3 d'une qualité surprenante:


Toujours dans les micro-marques (ou presque) j'ai découvert les joies de la patine du bronze avec ces 2 premières plongeuses, la première la Helson Shardiver puis la plus discrète Borealis Navale. Des Toolwatch ayant été élues volontaires pour m'accompagner lors des sorties de plongées sous-marine pour parfaire une patine naturelle:


Bon évidemment il y a aussi eu des ratés cuisant dans ces achats, parmi les moins avouables, la Steinhart et cette Dan Henri auront pris le chemin de la vente assez rapidement après avoir été déballées:

Enfin, de retour chez Seiko pour se faire un plaisir anniversaire avec la Marinemaster première du nom. Longtemps désirée et finalement conservée 3 mois seulement, là aussi, la montre a son charme mais une fois au poignet, la magie ne s'est jamais faite.

A l'inverse, cette "Tuna gold" m'aura longtemps collé au poignet lors des week end. Très abordable, elle a aussi la faculté de s'adapter à souhait à tout les types de bracelet, difficile de la prendre à défaut. Et vu son prix, c'est un bon rapport prix / plaisir.

Après le Japon, arriva le moment de prendre la route vers la suisse. Alpina comporte de beaux exemplaires dans son catalogue et le niveau de finition est irréprochable (aha). Cette Seastrong a attiré quelques compliment, là aussi un achat qui n'avait pas été regretté.

Puis... les B&R
Voilà j'en oublie sur le chemin (beaucoup), mon compte instagram a meilleur mémoire que moi. J'espère que la lecture de ce parcours vous interesser autant que j'ai pu l'être en parcourant celui de l'ami Animaniac.
En attendant, à bientôt les BRos
